Mein traum

Chapitre 1: Nantes


Comme d'habitude, je me lève dès que mon réveil sonne, c'est à dire vers 7h15. Je maudit intérieurement l'inventeur de se bout de ferraille qui me réveille quotidiennement, en faisant retentir une des grosses nullités qui passent en se moment, et qui me rappelle que se soir j'aurais vécu une journée de plus!*Donc vous l'aurez remarqué, je suis toujours optimiste et de bonne humeur le matin lol* Heureusement que les MP3 existent!! (je sais pas qui c'est l'inventeur mais lui je l'adore xd). A peine debout mon premier mouvement est de saisir le cordon qui retient mon objet favoris et de le passer au tour de mon coup, puis je descend lourdement l'escalier. Après un bref bonjour à mon père, je me laisse tomber sur une chaise et dévore mon petit déjeuner. Me voilà réveillée mais pas encore de bonne humeur lol!! Puis, après avoir englouti un yaourt et plusieurs tartines de nutella (bein oui faut bien sa pour commencer la journée mdr!), je remonte et m'enferme dans la salle de bain. Et là, je saisis la pochette qui pend à mon coup, l'ouvre et appuis sur le bouton ON de mon Mp3. A peine deux secondes plus tard, « Schrei » retentit, le son au maximum. Alors, je mets mes écouteurs et là, enfin, ma bonne journée commence! C'est partit pour les 24H TH (lol arrêter le massacre). Je traverse le couloir qui sépare la salle de bain de ma chambre, au son de « Durch den monsun », me coiffe et m'habille au rythme de « Leb die sekunde » et prends le chemin de l'arrêt de bus en chantonnant « Rette mich ». Ensuite , je monte dans le car, en essayant de ne pas me jeter dessous, car là plus aucun son ne sort de mes oreillettes. Je fouille dans la poche avant de mon sac, en sors une nouvelle pile et la place au bon endroit. Cependant je ne rallume pas mon objet préférer immédiatement, vu que Marine, qui s'assoit toujours à côté de moi dans le bus, à la fâcheuse manie de me parler quand j'écoute de la musique. Le trajet de chez moi au collège est donc épouvantable, sans exagération, et je ne remets la musique qu'une fois la tournée de bonjours terminée (oh la la l'expression lol!!). Et là, seulement, une fois que j'ai salué toutes mes proches connaissances, je mets en marche ma petit boîte à musique et me rends à l'emplacement de ma salle en murmurant « Freude bleiben ». La première sonnerie c'est à peine fait entendre, que je rentre progressivement dans la salle en ayant l'impression de m'enfermer, et la torture commence. Une heure sans Th, oui, UNE HEURE SANS TH, mais c'est vraiment pas possible!! Alors, pour passer le temps et pour combler l'ennui, je griffone sur les pages de mon cahier: « Bill du bist ein engel », »TH you are the best »,« Ich liebe TH » ou encore « Rette mich ». Puis la sonnerie(et oui encore) retentit, annonçant la fin du supplice et je remets illico presto mon MP3 en marche. « Ich bin nich ich » m'accompagne jusqu'à mon cour suivant, puis c'est « Wenn nichts mehr geht » qui prend le relais pour m'aider à tenir encore une heure. A la fin de la matinée, je sors de cours, à fond dans « Lass uns hier raus » qui me permet d'évacuer tous les sentiment accumulés depuis le début de la journée, et passe mes deux heures de pause quasi-quotidiennes à la fredonner pour me redonner du courage. « Gegen meinen willen » me pousse, malgré-moi, à reprendre mes affaires et à retourner en salle de torture mais dans mon esprit il n'y a plus en ligne de mire, que la ruée vers le portail qui signifit la fin de la journée. « Jung und nicht mehr jugendfrei » raisonne dans ma tête, en même temps que mon rire et celui de Anna (ma best JTD), qui répondent aux plaisanteries des gars de ma classe, qui se lâche enfin de journée et qui ne perdent aucune occasion de profiter de ma bonne humeur! Puis, vient le moment le plus difficile à passer, la dernière et interminable heure de cours. Les paroles d' »Unendlichkeit » me trotte dans la tête alors que le cours semble durer des heures. C'est alors que ce bruit que nous détestons le matin, adorons le midi, maudissons l'après-midi et vénérons le soir, provoque le raclement de plusieurs centaines de chaises pendant que les élèves se dirigent vers la sortie. Je pousse le son de mon baladeur à fond et je me lâche sur « Beichte », après une journée épuisante, nul mais tout de même épuisante! Dans le car, les cris sont couverts pas « Schwarz » qui me fait prendre conscience de la tonne de devoirs que j'ai à faire. Après cette pénible tâche accomplie, j'allume mon ordinateur, entre le code de ma session, ouvre mon lecteur de musique, me connecte à internet et à MSN, puis consulte ma messagerie électronique(clin d'oeil au prof de techno)plongée dans la contemplation de mon beau fond d'écran TH avec « Thema nr1 » comme fond musical. Et là, REDESCENTE SUR TERRE:

Il y a maintenant une semaine que je suis sur un joli petit nuage blanc et confortable et la chute est plutôt douloureuse, mais ne vaut rien comparer au bonheur qui m'envahit. Je viens d'ouvrir un mail venant du site officiel des TOKIO HOTEL et là en bas, tout en bas, figure les noms et dates, huit en tout, des lieux où va passer la tournée 2007 de mes quatre petits chéris( sa y est je deviens toute folle mdr). Je regarde le premier: PARIS, évidemment fallait s'en douter, le second: LYON, normal après le succès qu'ils y ont eu, le troisième: Marseille: ok tant mieux pour eux, le quatrième: BORDEAUX, bon choix et après?, je commence à bien flipper car on en est déjà à la moitié de la liste, le cinquième: TOULOUSE, ouai, cool, génial et ensuite?, le sixième: NANCY , d'accord, alors si je réfléchit bien sa fait: PARIS et LYON pour le centre; MARSEILLE pour le sud-est; BORDEAUX pour le sud-ouest; TOULOUSE pour le sud et NANCY pour le nord-est, donc résultat des courses, il reste deux dates pour deux zones, aller on croise les doigts, le septième: LILLE? Oulala plus qu'une chance, je fixe l'écran, les larmes inondent mes yeux, c'est la fin d'un rêve qui était out pour moi, je regarde le dernier lieux du dernier concert sans vraiment trop y croire...
Et là:
«NANTES!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!»


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Suite ou pas ?